[Chasse au trésor] mais suite...

Et c'est ainsi que le Cercle des Cinq (alors qu'ils n'étaient que quatre) pénétrèrent dans le couloir du donjon.

- Bon alors, je vois rien, qui a une torche ?

- Moi !

Schmfrbdbdbd était surexcité (d'enfin) servir à quelque chose.

- Personne ? Bon je m'en passerai...

- Zyva tain merde !

Furieux, Schmfrbdbd s'éloigna du groupe dans sa marche.

D'un seul coup, un bruit sourd se fit entendre :

SBREUNK

Le nain s'était apparemment pris une colonne dans la gueule.

Isilo rigola quelque peu, puis dit :

- Des arbres volants, des gobelins volants, et maintenant des colonnes volantes. XD LOL. So funny.

"Bon les gars, choisissez, c'est droite, tout droit ou gauche...

Djinn meugla :

- GAUCHE !

Isilo meugla :

- Milieu, toujours !

Schmfrbdbdbd enragea :

- DROITE (bordel).

Vous savez compter au moins ?

Un... couloir...

Bon, c'est décidé, moi je dis, on va...
-A GAUCHE ! A DROITE ! TOUT DROIT !" ont crié simultanément plusieurs voix.

Le nain en a même entendu une dire quelque chose du genre "en arrière" mais il n'en était pas sûr. Le temps d'aller voir ce qu'il y avait... à droite était venu.

"Allons-y, je pense qu'à droite ça doit être pas mal..."

Djinn semblait grognon, peut-être qu'Isilo aussi. Mais le nain semblait sûr d'avoir choisi la bonne direction. Le problème était qu'il se fatiguait beaucoup à marcher...
[i]
Le nain réfléchissait au moyen de marcher sans se fatiguer, justement. Il ne trouva rien, bien sûr, mais c'est sur cette base que l'on a inventé la voiture de nos jours... Mais n'en parlons pas, cela n'a aucun rapport avec notre récit.

Ils marchèrent peu et arrivèrent à un virage à droite.

"Les gars, ça tourne à droite !"

Ils allèrent à droite et s'enfoncèrent dans les profondeurs noirâtres et obscures de l'obscurité des profondeurs... Bref il faisait noir quoi...

Ils ne voyaient tout simplement rien. Une torche aurait encore été la bienvenue. Djinn sortit de son sac deux pierres colorés, qui ressemblaient à du silex. Elles étaient marquées aux couleurs du "Cercle des Cinq".

"Hé ? D'où elles viennent tes pierriches là ? Y'a des produits dérivés de notre compagnie maintenant ?
-Heu, oui, en fait, c'est un marchand à Glargh qui me les a données, je lui avais acheté tout un équipement complet pour assassin. Il m'a proposé un cadeau et il a vu que les pierres se marquaient toutes seules et...
-J'ai comme l'impression que tu te fous de ma gueule, mais bon, ça passe pour cette fois."

L'humain alluma une torche avec le seul bout de bois que le groupe avait gardé. Il l'avait enroulé de tissu pour ne pas paraître débile.

"Eh bien, avançons alors..."

- Allons-y, je pense qu'à droite ça doit être pas mal..., lâcha finalement le nain.

Immédiatement, Isilo, mécontent, hurla avant de cracher par terre à plusieurs reprises :

- BEUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUH !!!!

Tandis que Schmfrbdbd illumina son visage d'un sourire radieux qui contrastait avec toute la brutalité de la dure vie qui menait. Il se crut un court instant au paradis et écarta les bras pour savourer la douceur des anges gobelines qui l'entouraient, mais se cassa la gueule par terre.

Il se releva, frustré.

- Ouaah s'çaah, allonzy.

Alors, le groupe se mit en route. Le nain semblait pensif. Isilo, de son côté, envoya un coup de poing dans le mur. Ce dernier hurla, non, pas le mur, le gobelin, de douleur.

Il marmonna :
- Plein le cul ma parole.

Puis immédiatement, il se prit un autre mur. Décidément, ils se mutinaient contre lui.

- Les gars, ça tourne à droite !

Isilo hurla :

- T'AURAIS PAS PU LE DIRE AVANT ???!!!

Furieux, il devança les autres, boudeur. Puis se prit un mur.

- TAIN MAIS MERDE. CA TOURNE ENCORE A DROITE.

Puis il hurla de toutes ses forces :

- PLEIN LE CUL DE CE PUTAIN DE FACKER DONJON DE MES *beeeep* DE MON *beeeeep* DE TA *beeeeep* DE TON *beeeeep* DE TOUS CES VIRAGES DE *BEEEEEP* !

Il regarda derrière lui, et vit une lumière.

[Yaaaaaa je vien maintenant, c'était pas prévu ? J'm'en fou (à force de côtoyer des nains je devien chiant)
Sinon je vais écrire des RPs sur mon téléphone merci de me dire si il y a des fautes flagrantes (sms involontaire, etc...) que je n'aurais pas vu, Merci d'avance Zathor]
Au moment ou le prêtre voulu ouvrir la porte le cristal qu'il possédait se mit à luire intensément avant que Zathor ne se fasse téléporter au milieu d'un groupe étrangement constituer (pour ceux qui se demandent ce qui c'est passer, je me ferais une joie de vous le conter demain ;D) à droite de sa position il y avait un gobelin qui venait de s'arrêter de jurer et à gauche deux nains et un autre gobelin... Il était claire rue si il les énervait il était perdu
"*mal allaise*Heu salutation je je *je quoi hein !* suis enfin je vien en paix"
Un groupe construit comme sa n'était pas là pour prendre des vacance et Zathor n'avait aucune envie d'en prendre pour l'éternité...

Le troisième de Moah...

L'aventure commence à se mettre en place...

Ils avançaient lentement. Le nain savait parfaitement que quelqu'un allait les rencontrer, et ce, dans ce donjon ! Il ne savait par contre, ni où, ni quand. Des cris provenaient du fond des profondeurs obscures des longs couloirs. La porte du magasin était fermée. Mais nul dans le groupe n'arrivait à lire le Menzorien. Sur le côté, il y avait un petit bouton rouge, et personne non plus ne comprenait à quoi il pouvait bien servir.

Le mage avait appris beaucoup à l'université et se rappela qu'il avait, tout comme la magicienne qui sévissait dans une certaine compagnie, une tripotée de livres dans son sac. Ces livres, il les avait eus à sa naissance. Aussi bizarre que cela puisse paraître, il était né avec un bâton noir dans la main. Ce bâton noir était d'un noir... pur. Le plus pur que l'on ne puisse imaginer. Ce bâton magique avait grandi peu à peu avec lui. Il faut cependant noter qu'il n'a pas du grandir autant que si un humain l'avait possédé, mais là n'est pas la question.

Il farfouilla quelques instants dans son sac. Il trouva un livre, mais ce n'était pas le bon. Il restait un bout d'un parchemin porno, acheté au Donjon Facile, vous savez bien, comme dans la publicité. Il jeta tout ce qui ne convenait pas par terre.

« Grmlll, jamais le moyen de trouver quelque chose là d'dans ! »

Au dernier livre, il s'avéra que... ce n'était pas le bon. Il en fit part à ses compagnons.

« Hé les gars ! Heu, bien, heu, je n'retrouve pas, heu, mon livre, heu, pour, heu, les heu, les langues de la terre de Fangh... »

Seul Djinn eut la vivacité d'esprit de répondre :

« Ce n'est pas grave mon ami, nous allons nous débrouiller... »

Il avait toujours peur d'un assaut soudain du nain sur sa caboche, qui n'avait pas de protection, et il y tenait à la vie, figurez-vous. Il se proposa d'appuyer sur le bouton rouge. Le nain acquiesca. Il n'attendit pas la réponse des deux gobelins. Il appuya vivement sur ce maudit bouton, puis se recula violemment pour se protéger avec ses compagnons. Une vendeuse les accueillit. Elle leur proposa plein d'objets magiques, des vêtements, et tout le bataclan. Ils lui répondirent qu'ils n'avaient pas d'argent. Vous me direz que c'est trop facile, que cette scène, eh bien on l'a déjà faite, mais écrivez-donc à ma place, vu ? Revenons maintenant à notre cher Cercle des Cinq mais ne contenant pour l'instant que quatre aventuriers. La vendeuse avait refermé la porte et était retournée dans son magasin. Ils sonnèrent à nouveau. Elle ressortit, puis rerentra quand les autres abrutis répondirent qu'ils n'avaient pas compté. Le nain se rappela :

« Hé mais, je crois savoir qu'un barbare dans une certaine compagnie, il y a assez longtemps, avait tabassé la vendeuse pour rentrer, on essaye ? »

Il n'attendit pas la réponse des autres (facile d'éviter les dialogues...) et fonça littéralement sur la sonnette, qui se dérégla et resta en position « marche ». La sonnerie tonitruante résonnant dans le magasin obligea la pauvre vendeuse, future bête sans dents, à ouvrir la porte encore une fois à ces imbéciles.

« Qu'est-ce que vous voulez cette fois ! »
Le nain sauta sur elle, lui trancha un bras de sa hache, découpa sa robe, la dénudant complètement et acheva le rituel en lui tranchant la tête.

Pub : Ce petit combat sommaire vous est offert par la Fanghienne des eaux ! Et la réplique inutile qui va suivre aussi ! La Fanghienne des eaux : parce que c'est important d'avoir de l'eau propre au puits, à l'égoût ou au robinet d'eau chaude !

« Pffff, c'est de pire en pire ces pubs, ils savent plus quoi inventer... »

« Tiens, j'ai retrouvé mon livre pour les langues... » avoua le nain en rangeant ses livres qui traînaient par terre.

Mais comme ça n'intéressait personne, il se tut. Son sac rempli, il proposa d'ouvrir la porte du magasin pour voir ce qu'il y avait à l'intérieur.

"J'espère qu'il y aura de la bière de l'autre côté de cette porte ! Nan franchement, si y'en a pas, je fais un malheur ! Compris ?"

Les aventuriers du Cercle des Cinq n'eurent pas besoin de pousser la porte, elle s'ouvrit seule pour eux. Ils découvrirent de l'autre côté une chose brillante. Une chose qui fait peur, une chose qui fait mal, une chose bizarre, une chose qui donne envie de chialer, une chose qui...

[Voix OFF : putain mais lis ton texte merde ! Pfff, même pas capable de tenir son rôle celui là ! Il a couché avec qui pour devenir narrateur lui ?]

WAHEM, oui, je continue, connasse de voix OFF. Donc je disais, ils découvrirent une chose qui (non elle fait pas si mal que ça) brille (eh oui 'fallait s'y attendre !). Ils entrèrent à la rencontre de ce bidule en se protégeant les yeux. La fin était sans doute proche, c'était la lumière du lavement ! Le nain semblait bizarre. Il voulait sans doute voir son dieu mais il n'en connaissait aucun. La chose lumineuse avait parlé :

"Heu, salutations je... je suis... enfin je... viens en paix.
-Il a peur le petit fils d'Adam ? Allez viens par là, y'a un copain qui t'attend. Alors je fais les présentations, toi ça doit être le Martinùpostier, Djinn, un humain, deux gobelins, Isilo et Schmfbdbdbd et bien sûr moi, un nain. On est tous plus ou moins copains, va falloir te faire à notre groupe. Monsieur... le prêtre, étant donné qu'il est muet et que je ne connais pas son nom, tu vois ici le jour de la Compagnie qui va devenir la plus célèbre de toutes : Le Cercle des Cinq.

Bon, on entre dans ce foutu magasin ? On causera après !"

[HRPG : Pour ceux qui aiment les calembours, La Compagnie du Cercle des Cinq, donne CCC qui se traduit aussi en anglais par : Chess Corsican Club ou un truc comme ça...

et de 2 : Nous irons voir, après, dans le magasin...]

[et après on me reproche de souhaiter à tout le monde d'aller se faire foutre...]

Après une recherche ennuyeuse du nain consistant à savoir si the fucking little red button to push était un piège ou non, ce même nabot appuya dessus.

Une porte qu'Isilo n'avait pas remarqué à cause de l'ombre s'ouvrit sur une femme.

- Bonjour, vous désirez ?

Le gobelin balbutia :

- Je... hem... j'te veux toi.

S'en suivit un rire fou et puissant, sous le regard désespéré de l'apparente vendeuse. Cette dernière leur proposa alors plusieurs babioles qui

[HS : ça roxxerait trop que j'aille pas en cours cet après midi]

n'avaient aucune utilité, comme des ensembles de dînette coquets, des brosses à dents - qui pourrait trouver une utilité à ces objets, à part ces tapettes d'elfes ? - et tout ce que mon camarade a décrit.

Bref, le nain expliqua qu'il n'avait pas d'argent, et la porte se referma.

Schmfrbdbd rigola. Cette vendeuse semblait avoir un sens de l'humour développé.

Isilo fît :
- Pourquoi t'as dis qu'on avait pas d'argent ?

Alors, une ampoule s'alluma sur la gueule du nabot et ce dernier émit le son suivant :
- Hé mais, je crois savoir qu'un barbare dans une certaine compagnie, il y a assez longtemps, avait tabassé la vendeuse pour rentrer, on essaye ?

Schmfrbdbd se mit à pleurer. Elle était si belle.

Mais aussitôt dit, aussi tôt fait, la vendeuse se retrouva écrasé au sol à moitié nue. Isilo trouva le nain fort impoli, et Schmfrbdbd le haïssait de toutes ses forces.

Pour se venger, il donna un coup de pied dans le mur comme l'avait précédemment fait son ami, en imaginant que c'était le nain. Mais il pensa trop fort :
- Prends ça, nain de ta race.

Alors, les deux gobelins se mirent à fouiller le magasin.