[concour]Retour en ville et rencontre

Un homme déambulait dans les rues de Waldorg, il portait une armure renforcée et une épée, un bouclier était attaché dans son dos par commodité vraisemblablement. Un humain aux manières précieuses se baladait à ses cotés, il s'agissait sans aucun doute possible d'un barde humain, même si ils sont de bien piètres combattants leur savoir peut être une arme dévastatrice. Ils étaient visiblement gêné par le froid ambiant et décidèrent donc de rentrer dans la taverne afin de se réchauffer. Une fois à l'intérieur ils durent se rendre à l'évidence ils n'étaient pas les seuls à avoir eut cette idée : la taverne était bondée, pas une table n'était libre. Ils allaient s'en retourner quand ils virent le tavernier hausser le ton à une tablée. Apparemment les habitués n'avait pas réglés leur ardoise et le patron les sommait de vider les lieux rapidement. Bagloc connaissant l'aubergiste décida de lui prêter main forte et se dirigea vers la tablée.

"Qu'est ce qui se passe Roger tu as un problème ? C'est type te gène ? Eh bien les gars ne me regardez pas comme ça et débarrassez le plancher comme vous la demandé mon pote Roger, en plus ça tombe bien je voulais une table."

Habitués : Mais qu'est ce qui veut celui la ? Une paire de baffes ? On t'a jamais appris qu'il faut pas se mêler des affaires des autres ?

Roger : Merci Bagloc mais ne vous battez pas ici s'il vous plait.

"Se battre ! Tu es pas dingue ? Ils tiennent même plus debout, j'ai déjà vu de la soupe plus menaçante que ces trois types. Hors de question que je me batte avec eux."

H. : Tu as peur !

En entendant ses mots, Bagloc se retourna très lentement affichant un air effrayant, les traits déformés par une émotion très forte et une envie de massacrer tout ce qui bouge. Les Habitués voyant cela filèrent sans demander leur reste en jetant une bourse au pied de l'aubergiste. Leur fuite précipitée causa quelques petit problème, tout d'abord ils bousculèrent le minautore qui jouait au dés avec l'ogre, cela conduit à la disparition prématurée de l'un des habitués par décapitation puis ingestion. Ensuite ses amis courant de manière désordonnée, percutèrent la pille de tonnelets de bière qui se renversa, inondant la pièce de bière, au plus grand contentement des clients. Pour finir les deux habitués sortirent en passant à travers une fenêtre.
Le barbare se tourna alors vers son barde pour lui demander ce qu'il avait pensé de ses types mais ne le vit pas. Il chercha ou il pouvait bien être, puis remarqua un pied qui sortait de la bière. C'est alors qu'il comprit que son barde serait inutilisable pour les deux semaines à venir, pour cause de cuvage. L'aubergiste emmena le blessé à l'étage où il passerait quelques temps pour dégriser.
Bagloc décida de prendre place à la table, ramassa une chope vide et la plongeant dans la bière se la remplie. Il ne cracherait pas sur un peu de compagnie, ce qui ne tarderait surement pas à arriver vu la température extérieure et le fait que toutes les autres tablées étaient complètes. En attendant il but quelques bières, qui malgré un fort gout de pied, n'était pas si mauvaise que cela.

Gôllfah' De s'ennuyait, seul dans son habitation de Valtordu. Il tournait en rond, soupirant sa solitude et imaginant des scénarios qui metterait un peu d'action. Mais après une trentaine de minutes, vers l'heure du dîner, il finit par s'avouer à lui même qu'il ne se passera rien s'il reste encabané dans cette endroit aux murs étroits. Donc, il sortir de sa maison, rentra le journal en dedans, puis referma la porte en s'en allant vers une nouvelle aventure intrépide. Le nain gambadait dans les rues, saluant avec une gaieté surprenante les passants qu'il voyait en avant de lui. Puis, cette magique scène se transforma en une situation plus déplaisante lorsqu'il vit un elfe. Cela lui rapella que la vie n'était pas si belle que ca. Il continua tout de même son chemin, sans arrêter, et il finit par avancer juqu'au porte de Waldorg. Il n'avait jamais entré dans la ville, mais il y a un début à tout! Il répondit aux milles-et-une questions qu'on lui posa, et finalement entra dans la cité. Curieusement en se promenant dans la ville, il eut la chance d'observer, à seulement quelques pas de lui, deux hommes qui se firent projetés par une fenêtre pour ensuite volé dans les airs par le moyen d'un bon coup de pied aux fesses! Gôllfah' De porta une attention particulière à l'endroit d'où sortaient ces deux gars-là; L'Auberge de Waldorg.

* Héhéhé, enfin un peu d'action pour m'remonter l'moral. En plus, y'a d'la bière! Gnégnégné! *

Suivant ses instincts de nain, Gôllfah' De entra dans la taverne. Plus aucunes places étaient disponibles, sauf qu'en regardant plus profondément la pièce, il vit une sorte de barbare assit seul à une table pour trois.

* Bon, c'peut pas, y'a plus aucune place! Appard c'tte grosse chose indeuse au fond d'la piècle, arff, peut pas être pire qu'un elfe s'gars-là! *

Donc le nain vint s'approcher du barbare, puis, avec un sourire un peu forcé et douteux, demanda à l'homme assis une faveur.

- Eum m'sieur, c'dérange qu'jmassois avec vous? Plus aucune place autours, on pourrait m'discuter? Allez soyez gentil, faites moi une p'tite place Ô grant'homme.

Gôllfah' De s'assit tout en regardant ses bottes. Il remarqua rapidement que pour une fois, il n'aurait pas besoin d'un banc pour se servir, car la bière coulait à grands flots sur le sol. Il n'eut qu'a se pencher, pour une fois, et il but en entier son verre. Soulagé, il sourit bêtement puis se reservit tout en fixant le barbare. Après quelques minutes, il en eut assez de la bière puis, s'essuyant la barbe rousse plein de bière, demanda gentillement au barbare.

- Woahhahah! Ouais, j'suis d'accord avec toi! J'lève mon verre à la mort des nains et à mon ami .... Au fait, s'trop impoli d'te demander ton nom? J'aime bien savoir à qui j'parle, héhéhé, si tu t'rapelle pas c'pa très grave, ca m'arrive à moi aussi hehuh!

Le barbare ayant fait tout le chemin jusqu'à la forêt de schlipack vainement, puisque le guerrier nain qu'il espérait recruter était comme pétrifié, figé par un étrange maléfice. Décida de rentrer à la taverne afin de prendre un repos bien mérité. Lorsqu'il arriva l'aubergiste venait de finir le nettoyage de la taverne, qui était déserte probablement sur ordre du patron. Bagloc chercha des yeux son compagnon mais ne le vit pas, il commença à se demander si il n'avait pas profiter de son absence pour fuir. Si tel était le cas le barbare le pourchasserai jusqu'à élimination. D'un autre coté les nains sont connus pour tenir leur parole, il était également possible qu'il soit entrain de cuver quelque part. Afin de lever le doute sur ses interrogations il se décida à aller aux renseignements.

"Aubergiste t'aurais pas vu le nain qui trainais à ma table hier ? Non parce que l'on avait décidé de partir à l'aventure ensemble mais j'ai du m'absenter pour recruter un autre membre et du coup je l'ai paumé, j'espère qu'il s'est pas barré le petit enfoiré."

Aubergiste : Ah attends tu parles du nain avec qui tu as réservé une piaule ? Parce que si c'est le cas il est au plumard entrain de dessouler. Même qu'il fout un bordel pas possible, les autres clients sont venus me voir à plusieurs reprises pour me demander de l'empêcher de ronfler.

"Et alors comment tu t'es démerdé ?"

A. : j'ai bien essayé de le réveiller mais il est tellement bourré que j'y arrive pas.

"Ah ben putain ça promet ! La nuit va être très longue je le sens. Ah mais dis moi tu aurais deux œufs durs ?"

A. : Tu as faim à cette heure là toi ? Bah attends je vais te chercher ça!

"Non j'ai pas faim c'est juste une technique que la grand mère utilisait pour pouvoir dormir, et oui pépé réveillé même les trolls des collines voisines alors tu comprends le bordel après !"

A. : Tiens voila, j'espère que ça va marcher, il commence à me gonfler en plus j'ai déjà deux clients qui se sont tirés à cause du bruit, ils m'ont dit qu'ils allaient prêt de l'armurerie parce que ce serait plus calme.

"Ah oui quand même il calme le nain là."

A. : Ah le temps que j'y pense demain vous me rendez la chambre je veux plus nabot chez moi. Sinon il m'a dit que c'était toi qui payait la note alors si tu pouvais me régler maintenant ça m'arrangerait.

"Quoi ? Ah l'enfoiré. Et puis toi je t'ai pas fait payer pour le service d'ordre dans ta boutique tout à l'heure, tu abuses pas un peu de me facturer la nuit ?"

A. : En même temps je viens de perdre toute ma réserve de bière j'ai besoin de fric pour la reconstituer. Et puis je crois aussi t'avoir vu boire une paire de chopine à l'œil donc tu peux considérer cela comme la récompense pour avoir foutu les pecnots dehors.

"Bah si c'est vital je comprends tiens voila une pièce d'or, par contre comme je paye pour une semaine on squattera la autant de temps que l'on veux avec mon pote, et t'inquiète pas pour les ronflements je m'en occupe."

Sur ces mots Bagloc commença à gravir l'escalier, il était harassé par cet éprouvant voyage. Arrivé à l'étage il trouva facilement la chambre du nain il y entra et quelques secondes plus tard le bruit cessa. Il ressorti ensuite de la chambre après y avoir déposé un mot manuscrit sur lequel on pouvait lire :

-Je suis allé voir Dalnor à Shlipack. Il est figé par un maléfice qui m'est inconnu. Je lui ai laissé un message sur son palantir portable, j'espère qu'il nous rejoindra rapidement, en attendant on restera ici.
-Je suis dans la chambre d'en face. Cuve bien et pense à retirer les œufs durs de ton pif quand tu te lèveras.
-T'inquiètes pas pour ton or j'y ai pas touché je t'ai juste mis les œufs dans le tarin pour que tu arrêtes d'emmerder tout le monde.
-J'ai payé les piaules pour la semaine maintenant tu te démerdes pour les repas et la bouffe c'est à ta charge.

Il alla ensuite se coucher et prit un repos bien mérité.

Attention ! Tu ne peux pas décider ni des actions ni des paroles des autres joueurs ! Cette taverne étant gerée par un Personnage Joueur, tu ne peux parler à la place du tavernier. Roger est un PJ, il est le seul maître de ses paroles.
C'est une infraction aux rêgles élémentaire du Rp. Je suppose que Roger te pardonnera, masi il est aussi en droit de demander la suppression de tes posts.

A savoir !

Au bout d'un moment, des bruits de pas se firent entendre et une personne forte énervée déboula, une torche à la main. Il s'agissait en fait de Roger :
- Dites donc, c'est pas bientôt fini votre bazar ? Y'en a marre maintenant ! D'abord vous chassez mes habitués, ensuite vous ruinez mes réserves et ensuite, après squatter deux chambres, vous foutez un ramdam pas possible. Si vous récidivez ne serait-ce qu'un seule fois encore, je vous jure que vous aurez à faire avec les orques.
Et sur ce, Roger s'en alla, laissant là les deux compères.

[Et je suis sympa, je ne demande pas la suppression de vos posts, néanmoins, je ne parle pas avec un tel langage barbare donc si tu pouvais éditer ton post afin de réécrire ce que tu me fais dire plus élégamment et surtout, SANS FAUTES D'ORTHOGRAPHE ET DE GRAMMAIRE!]

"Toutes nos excuses cher aubergiste, je te l'assure cela ne se reproduira plus. Pour l'heure nous allions sortir faire un tour en ville. Tu viens Golffah de ?"

[HRP] Encore désolé Roger je pensais pas à mal j'ai déjà remplacé toutes les fois ou ton pseudo apparaissait par "aubergiste" du coup je pense pas qu'il y ai de problème[/HRP]

[HRP] Oui, et bien je reviens à la taverne, mon post n'a donc aucun lien avec celui de Bagloc, car l'action du tour de ville s'est terminé à l'armurerie. J'ai le droit à un déplacement par jour et j'ai donc décidé de me déplacez à la taverne pour continuer l'histoire.

https://naheulbeuk.forumsrpg.com/l-armurerie-f59/concours-groupement-anti-elfique-t1056.htm

Le lien du topic sur l'armurerie (désolé j'ai pas réussi à faire un lien direct).
[/HRP]




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Le nain rentra à soi chez-soi. Même si cet endroit, l'auberge, n'était vraiment pas un lieu où Gôllfah' De était le bienvenue. En plus d'avoir saccagé la taverne et d'en avoir chasser les habitués, le nain avait vidé les dernières réserves de bière puis, en conséquence à ce geste, avait ronflé rendant ainsi le sommeil des autres clients plus qu'impossible. Enfin bref, pour résumé, sa rentré ne fut pas de joie. Il se sentait observé par tout le monde, du coup, il ne se souvenait pas de cette malencontreuse aventure de l'autre soir et de tout ce tapage qu'il avait commis - l'effet de l'alcool qu'il avait consommé quoi! Donc, il pénétra dans la taverne lentement mais surement. Ses bottes, qui avaient eut la vie dur à marcher dans les chemins de terre engloutis d'eau, avait passer d'un beige clair à un brun foncé. Elles étaient toutes mouillées et le nain, sans pensé une seconde, commença à marcher partout dans la pièce en fesant des bruits infernaux dût au caoutchouc de sa semelle. On pouvait voir dans les yeux des autres clients la rage de l'envie de donner une solide correction au petit homme. Gôllfah' De, qui depuis sa tendre enfance, ne remarquait point les émotions des autres gens, continua son parcours jusqu'aux escaliers. Marche pas marche, il avançait à petits pas, et finit par atteindre sa gracieuse chambre. Celle-ci, pour décrire rapidement, était dans un état pénible. À-vrai-dire, l'adjectif pénible n'était pas vraiment assez généreux pour décrire la pièce. Les vêtements du nain étaient éparpillés un peu partout, et le plancher poussièreux était couvert d'eau à cause de ses bottes - pauvre type qui devra tout ramasser ça... Mais Gôllfah' De vivait très bien avec le fait d'être malpropre et très désorganisé. Il enleva ses bottes, une par une, et les projeta au bout de ses bras puis vint le tour de déboutonner sa chemise blanche carotté brune. Il alla ensuite se détendre sur son lit, les orteilles à l'air et les yeux mi-clos. Lorsque soudain, on vint cogné à sa porte. Le nain se leva pour aller répondre et, à sa grande surprise lorsqu'il ouvrit la porte, personne ne s'y trouvait. Il chercha brèvement aux alentours qui aurait put lui faire une mauvaise farce, mais les seules choses qui bougeaient c'était les rideaux qui vaguaient grâce au souffle du vent. Il pencha la tête vers le plancher, et remarque une belle enveloppe blanche fermé avec un sceau rouge dessus. Il étira son bras trapu pour ramassé la lettre et vérifia qu'elle s'adressait bien à lui.

* Eum.. Qu'est-ce que ça peut bien être? Ça fait un bout qu'une personne m'a envoyé une lettre, certainement pas un ami, car j'en n'ai aucun... Alors qui?

Il lisait les phrases en chucotant dans un ton de parole très faible, puis le son de sa voix disparut drastiquement. Curieusement, il était écris sur le papier que le nain pouvait se faire un maximum de pièce d'or et de viande et même de poisson s'il accepta de jouer dans le clan des traitres. Les offres n'étaient pas mentionnées, mais il était évident qu'il ne s'agissait pas que de quelques pièces d'or, mais d'un vrai trésor! Le nain prit quelques secondes, mais décida finallement de glisser cette lettre dans la poche droite de sa chemise boutonnée. Un peu de repos lui fera prendre une meilleur décision, et lui permettera de peut-être savoir qui est l'écrivain de ces mots... Gôllfah' De referma la porte et se hissa jusque dans son lit aux couvertures bien chaudes.

Gollfah de était rentré quelques minutes avant Dalnor et Bagloc dans la taverne, ceux ci restant légèrement en retrait et parlant des possibles quêtes qu'ils pourraient mener avec leur niveau. En entrant dans la taverne ils furent bousculé par un individu encapuchonné, tout vêtu de noir et assurément louche.

"Eh regarde où tu vas connard !"

Individu suspect : ahem désolé, je ne vous avez pas vu.

"Je m'en fous dégage de l'embrasure de la porte j'ai soif !"

Is. : Ah oui encore désolé et au revoir.

"Putain il était bizarre ce type, tu en penses quoi Dalnor, il avait l'air troublé de nous voir, comme si 'il avait quelque chose à cacher. Oh et puis qu'est ce que je raconte moi on s'en fout allez viens boire un godet!"

Gôllfah' De entendit la porte claquer. Il ne put savoir qui venait d'entrer, et sa curiosité grandissante lui rongeait l'esprit. Donc, allongé dans son lit, il se leva lachement pour aller voir en bas ce qui se passait et quelle était la raison de tous ces bruits. À son grand étonnement, lorsqu'il eut descendut l'avant dernière marche, il vit ses bons amis Bagloc et Dalnor. Alors, tout de suite l'image de la lettre lui apparut en plein visage. Réfléchissant à tout ça, son ventre gargouilla. On pouvait, seulement qu'à entendre le son, deviner que le nain avait grandement faim. Alors, le nain se dirigea vers le comptoir, sans aller voir ses compagnons, et demanda quelque chose à manger.

- Hey mon pote , t'a quelque chose à m'offrir? J'ai des gargouillements dans l'estomac et j'ai très faim...

Personne n'était dans les cusines, ni au comptoir. Voyant cette inactivité du service, il se tourna et sourit à Bagloc et Dalnor comme s'il ne les avait pas vu en descendant les escaliers. Ce beau grand sourire cachait toute l'hypocrité de Gôlfah' De, celui-ci adressa quelques mots à ses amis avec une aimabilité à questionner...

- Alors mes amis, ça va bien? La marche n'a pas été trop pénible sans mes bonnes farces? Enfin bref, moi je rondais en haut dans ma chambre, j'ai piqué un sommeil dans mon bon lit chaud en attendant votre retour. Et du coup j'ai entendit quelqu'un entrer dans l'auberge, et la je suis descendu et comme surprise vous êtes la!

A propos de la règle un lieu par jour :

La ville ne compte que comme un seul lieu. Tu peux donc être à l'armurie, à l'auberge et à la banque le même jour.

* Merde, là qu'est-ce que j'invente? *

« Ah? Mais, mais, je ne l'avais même pas vu! Ça m'a tout l'air curieux... Je vais regarder de quoi ça parle. »

Gôllfah' De sortit le papier doucement de sa poche, prenant soin de ne laisser aucun angle de vue à ses compagnons, et il se retourna pour lire à basse-voix la lettre.

« Étrange, je vais vous lire ce qui est écrit. C'est un peu bizarre, et j'ai moi même de la misère à le déchiffrer. Je ne l'avais même pas vu, je crois que c'est cet idiot de tentôt, un type louche, je crois que vous l'avez vu aussi. Il est passer à côté de moi et m'a accrocher avec son bras et, suite à ce bousculement, il échappa volontairement la lettre d'entre ses mains pour qu'elle tombe directe dans ma poche. Ah! Je le savais, il m'a eut. En plus, il avait des longs doigts d'elfe et une peau plutôt foncé pour une créature humanoïde... Si j'en conclus avec mes connaissances, ce gars-là c'est un de ses elfes qui habitent à l'ombre de la lumière du jour dans les recoins sombres des ténèbres. J'en ai des frissons, je n'avais même pas remarquer. Et je ne mends pas, croyez moi ou pas, mais je suis innocent. Ah, c'est vrai, vous ne savez toujours pas de quoi parle cette fameuse lettre... Bon, ça commence comme ceci. »

« Cher Ami,

Mon identité n'a pas besoin d'être révélé, car mon âme a jadis été donnée aux entrailles de l'enfer pour servir le chaos. Mais que sais-tu du chaos? Le bien est une chose bien, j'en convient comme toi. Mais, les hommes ne sont pas à l'image de Dieu, ils sont à l'image du puissant. Mon maître, le puissant, m'a dit de répendre la nouvel qu'il était de retour pour une vengeance sur ton maître. Le bien, m'a-t-il dit, n'est qu'une idée. Un simple jugement interprêter par quiconque le vaudra bien, mais le mal. Qui peut juger le mal? Peut-être est-ce le vrai bien. Qu'en savons-nous toi et moi? Rien. Au fond de moi je regarde autour, et ce qui ressort encore plus que tout, c'est de la violence. Qu'en penses-tu mon ami? Sont tes gestes bien ou mal? Si tu me réponds bien, tu commets un acte mal, car tu mends. Tu comprends, tu es prit au piège dans une sociétée qui pense faire le bien en fesant le mal. N'est-ce pas là un monde répugnant? Et toi, cher ami, tu décides de combattre en leur nom! Mais regarde toi, ils t'utilisent à leur fin personnel, tous, ils sont aussi coupables les uns que les autres. Au fond de leur yeux, et de leur âme, on aperçoit tout. La trahison est un acte qu'on dira méchant, mais selon moi lorsque tu trahis quelque chose de mal, tu es dans la voie du bien. N'est-ce pas, cher ami? Si tu es de mon avis, exerce cet acte du bien et rejoins moi, seul si possible. L'endroit de notre rencontre sera là où les arbres sont aussi noirs que nos âmes, là où l'on prêche pour mon maître. Là où le mal est le bien, là où tout le monde est acceptée, qu'il soit laid ou beau. Là où tu seras considéré à ta juste valeur, seul là tu pourras me rejoindre. Sur ce, cher ami, je te laisse y penser. Ne continu pas à faire le mal en disant faire le bien, vient vers ceux à qui tu appartients vraiment. »

« C'est pas signé. Il n'a rien laisser qu'une seul et mince trace de son sang violet. C'est, comment dire, assez troublant. Qu'est-ce que vous en dites? On va le rejoindre pour vérifier les sources. Je suis partant, sincèrement, j'aime pas cette auberge... Les cadres des peintures sont croches, et en plus, les lits grincent donc, pas classe. Je sais pas pour vous, mais ça me dirait d'aller faire un tour là-bas, je crois qu'il parlait de la forêt de Schlipak et du sanctuaire réservé à Kornettoh. »

Pendant la lecture et à l'attention de Dalnor :

"Mais qu'est ce qui dit..."

A la fin de la lecture et à l'attention de tous :

"Tu parles du tas de pierre paumé au milieu de la forêt ? Non parce que pendant que j'étais étudiant à l'université j'ai eus une quête à faire dans ce temple et je l'ai malencontreusement rasé. Sinon il y a quand un truc louche : toi un nain tu proposes d'aller marcher dans les bois, sur les territoires elfes avec des arbres et petits oiseaux qui chantent et des fleurs partout ? Je suis pas vraiment convaincu aller donne ton papier que je lise."

"Et toi tu en penses quoi Dalnor ? Je te laisse décider vu que c'est toi qui à le plus d'expérience. Par contre je te préviens de suite le temple de Kornettoh c'est une vraie misère il n'y a aucun trésor rien quedale de chez quedale. Donc si on va la bas on perd du temps qui pourrait être mieux employé. On pourrait plutôt se faire une petite chasse dans un coin tranquille histoire d'avoir des réserves de nourriture pour l'aventure prochaine que nous ne manquerons pas de trouver."